Conception d'un modèle technique pour le pilotage de l'irrigation de complément à partir des bassins de collecte des eaux de ruissellement

dc.contributor.authorAbba, Ali
dc.date.accessioned2014-01-21T15:44:58Z
dc.date.available2014-01-21T15:44:58Z
dc.date.issued2013
dc.descriptionRésumé en anglais inclusfr
dc.description.abstractLa présente étude est menée dans la partie sahélienne du Burkina Faso, zone particulièrement sensible comme l’ensemble du Sahel africain confronté depuis plusieurs décennies à des phénomènes de sécheresse et de désertification. En effet, la saison des pluies généralement de courte durée (entre 3 et 4 mois) est caractérisée par une succession de plusieurs cycles humides et secs de durée variable pouvant affecter le cycle végétatif des cultures. Dans ce contexte de changement climatique, plusieurs démarches ont été entreprises pour diminuer cette dépendance de l’agriculture envers les pluies, et celle qui concerne notre étude est l’utilisation de Bassins de Collecte des Eaux de Ruissellement (BCER) pour endiguer les poches de sécheresse. Pour mener à bien cette étude, un modèle technique de gestion de l’eau stockée dans les BCER a été développé. Ce modèle, appelé « modèle technique de gestion de l’eau des BCER » ou « MTGE_BCER 2013 », permettra un meilleur pilotage de l'irrigation de complément à partir des BCER. Il s’agit d’un outil simple à l’utilisation écrit sur Microsoft Excel 2010, dont les paramètres d’entrée sont de type climatique, agricole, édaphique, humain et dimensionnel. Les principales informations fournies par le modèle sont les volumes consommés (infiltré, évaporé…), et les durées d’autonomie en jours (parcelle, BCER) pendant une séquence sèche. Le classeur est organisé sous forme de feuilles de calculs, et d’une interface. En plus des paramètres de sortie numériques, l’interface présente un histogramme de répartition des différentes consommations faites de l’eau des BCER, en termes de pourcentages. Par ailleurs, elle présente une zone d’avertissement et une zone de suggestions. Le cas pratique d’un BCER de 300m3 appartenant à un producteur cultivant du maïs Barka dans le village de Mogodin a été étudié. Les résultats indiquent que la diminution de toutes les consommations non agricoles n’a pas un impact significatif sur l’autonomie du BCER. Par ailleurs, pour une séquence sèche de 16 jours en phase de floraison, il est possible d’irriguer au maximum environ 0.25ha. Pour une même durée de séquence sèche, le volume d’eau nécessaire pour irriguer 4.5ha est estimé à environ 210m3.fr
dc.description.degreeMaster's degree
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10625/52342
dc.language.isofr
dc.publisherInstitut International d'Ingénierie, Ouagadougou, BFen
dc.subjectIRRIGATION DE COMPLEMENTfr
dc.subjectMODELE TECHNIQUE DE GESTIONfr
dc.subjectPOCHE DE SECHERESSEfr
dc.subjectBCERfr
dc.subjectINFORMATION CLIMATIQUEfr
dc.subjectBURKINA FASOfr
dc.subjectSAHELfr
dc.subjectBASSIN DE COLLECTE D'EAU DE RUISSELLEMENTfr
dc.titleConception d'un modèle technique pour le pilotage de l'irrigation de complément à partir des bassins de collecte des eaux de ruissellementfr
dc.typeThesisen
idrc.dspace.accessOpen Accessen
idrc.project.componentnumber106549001
idrc.project.number106549
idrc.project.titleIrrigation et information climatique au Burkina Faso (CARA)fr
idrc.recordsserver.bcsnumberIC01-838-50
idrc.rims.adhocgroupIDRC SUPPORTEDen

Files

Original bundle
Now showing 1 - 1 of 1
Loading...
Thumbnail Image
Name:
IDL-52342.pdf
Size:
1.6 MB
Format:
Adobe Portable Document Format
Description: