African Security Sector Network2018-03-132018-03-132017http://hdl.handle.net/10625/56881Au sortir de la crise post-électorale en 2011, la Côte d’Ivoire faisait face à une pluralité de défis au rang desquels figurait en tête de liste le rétablissement de la sécurité. Les nouvelles autorités créèrent en 2012 l’Agence pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (ADDR) dont l’un des objectifs majeurs fut de mettre en dehors du champ sécuritaire les différentes milices et autres groupes armés informels ayant appuyés les forces militaires belligérantes durant le conflit. Après trois ans d’activités l’ADDR a affirmé avoir réinsérés dans la vie civile 85% des 74.000 ex-combattants ciblés au départ par le programme. Si l’ADDR a ainsi réussi à faire sortir la plupart des ex-combattants du champ sécuritaire, il reste que les «dozo», connus comme une confrérie de chasseurs traditionnels ayant pris part au conflit, ont continué d’intervenir de façon informelle dans champ de la sécurité.application/pdffrGOUVERNANCECONSOLIDATION DE LA PAIXBATIMENT D'ETATSECURITE HYBRIDEGOUVERNANCE DE SECURITEGOUVERNANCE DU SECTEUR DE LA SECURITESYSTEMES DE SECURITE INFORMELSCOTE D'IVOIREConfrérie des chasseurs « dozos » de Côte d’IvoirePolicy Brief