Capacity Building / Renforcement des capacités

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    Projet de Renforcement des connaissances Économiques et de Capacité d'Adaptation aux changements climatiques au Bénin - PRECAB : rapport technique final (avril 2011 - juin 2014)
    (Initiatives pour un Développement Intégré Durable (IDID), Porto-Novo, BJ, 2014-11) Initiatives pour un Développement Intégré Durable (IDID)
    Le projet initié par l’ONG Initiatives pour un Développement durable (IDID) « Renforcement des connaissances économiques et de la capacité d'adaptation face aux changements climatiques au Bénin » (PRECAB) vise à améliorer la capacité d’adaptation et la résilience des communautés locales afin les impacts négatifs des changements climatiques sur la sécurité alimentaire et la pauvreté en milieu rural au Bénin. Ce projet est l’un des sept financés grâce à l’initiative des Centres de Recherche sur l’Adaptation (CRAA) du Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI) pour une durée de trois ans (2011-2013). Le projet s’est appuyé sur les résultats obtenus par le projet de renforcement des capacités d'adaptation des acteurs ruraux béninois face aux changements climatiques (avril 2007 – avril 2011) financé par le programme Adaptation aux Changements Climatiques en Afrique (ACCA) du CRDI et DFID. Il a été mis en oeuvre en collaboration avec l’Institut National des Recherches Agronomiques du Bénin (INRAB) et le Ministère en charge de l’Agriculture (MAEP) avec pour bénéficiaires ultimes les agriculteurs (trices), élus locaux, cadres techniques et chefs services déconcentrés de l’Etat. Il s’est agi pour ce projet de mettre en exergue les modèles culturels de prévision du climat, de faire une analyse économique de l’adaptation aux changements climatiques et d’évaluer l’impact économique des changements climatiques sur les revenus agricoles. Pour y parvenir, une combinaison d’approches intégrant la perception paysanne, des analyses descriptives, les modèles probit, le modèle ricardien et la méthode des scores de propension a été utilisée. En matière de connaissances endogènes, il faut noter qu’elles se fondent sur une série d’observations systématiques des phénomènes naturels qui finissent par régir une loi universelle mais non scientifiquement démontrée. Plusieurs indicateurs naturels (espèces d’arbres, d’oiseaux, mouvement de constellation et lunaire) ont été répertoriés au sein des chefs traditionnels, des communautés paysannes en particuliers les producteurs du troisième âge très expérimentés qui détiennent ces connaissances et qui ont vécus plusieurs périodes d’évènements climatiques ou risques climatiques depuis les années 1950 à nos jours. La limite de ces savoirs endogènes c’est leur manque de corrélation des faits. C’est ce que la science tentera de faire en vue de leur valorisation et leur intégration dans les bases scientifiques des prévisions saisonnières. En outre, diverses stratégies sont pratiquées par les producteurs pour faire face aux risques climatiques parmi lesquelles on retrouve principalement la mise en oeuvre de plan de conservation du sol, l’utilisation de plantes améliorantes, le changement de variétés/cultures, le changement de champ pour produire à un autre endroit, le changement de date de semi/semis échelonné et la plantation d’arbres / reforestation. Il importe de faire remarquer que la probabilité que les hommes s’adaptent aux changements climatiques est supérieure de 13 points à celle des femmes. Ceci pourrait s’expliquer par le fait que les femmes ont relativement moins accès aux ressources productives (terres, capital, main-d’oeuvre, etc.) que les hommes. Elles ont donc moins de marges de manoeuvre par rapport aux hommes. Il s’ensuit que les femmes pourraient subir les affres des changements climatiques plus que les hommes. Les producteurs qui ont accès aux informations sur le changement climatique ont tendance à adopter des stratégies d’adaptation aux changements climatiques. En particulier, la participation aux Champs Ecoles Paysans (CEP) a une influence positive sur l’adaptation au changement climatique.
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    Vers une collectivité productive à Malika (Sénégal) : une expérience d'aménagement participatif; rapport technique final (1 octobre 2008 au 31 mars 2013)
    (École d'architecture, Université Laval, Québec, QC, CA, 2013-07) Casault, André; Piché, Denise
    Ce rapport fait état d’un projet de recherche-action d’une durée de quatre années, mené à Malika, une commune de la banlieue de Dakar. Ce projet porte sur l’aménagement participatif d’un cadre bâti sain, durable, inclusif et culturellement adapté pour soutenir des collectivités productives en périphérie urbaine, là où la production agricole et la nature doivent s’harmoniser avec une urbanisation souvent informelle. En plus de documenter la forme et l’évolution des milieux informels et les dynamiques d’aménagement qui y sont à l’oeuvre, le projet a déployé, dans le quartier jouxtant la seule décharge de Dakar, une stratégie et divers outils d’aménagement participatif en vue d’une plus grande prise en charge par la collectivité de l’aménagement de son milieu de vie. Il a aussi mené trois projets laboratoires afin d’étudier les effets de transformations du cadre bâti sur les pratiques productives et le bien-être, ainsi que la durabilité et l’efficacité des pratiques constructives et aménagistes : il s’agit de la Maison des femmes de Malika, des porcheries domestiques du quartier Santiaba et de l’espace public du quartier Diamalaye. Les résultats mettent en évidence la complexité des dynamiques à l’oeuvre dans les milieux dits informels, la nécessité d’adapter tous les cadres d’intervention aux pratiques qui y ont cours et le potentiel de transformation des pratiques constructives sans générer de coûts supplémentaires pour les ménages. Ils questionnent également les logiques de projets de développement et des approches participatives selon l’échelle de l’intervention visée et comment elle se déploie dans le temps. La diffusion des résultats prend la forme de films, d’expositions, de guides d’intervention, de livres pour enfants, en plus de communications et de publications universitaires.
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    Adaptive water management : looking to the future; final technical report re Research Awards for Young Researchers
    (FGV DIREITO RIO, Rio de Janeiro, BR, 2011) Silveira da Rocha Sampaio, Rômulo; Monjardim Barbosa, Mariana; Iglesias Peralta, Alicia
    The World Water Congress (of the International Water Resources Association) was a strategic opportunity to highlight the research results from relevant projects in the field authored by young researchers. The Research Awards for Young Scholars (RAYS) sought innovative work that explores emerging drivers of water resources management, including climate change. This report documents the activities of RAYS, as well as outputs and outcomes of the program, which supported scholars from the Latin America and Caribbean region.
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    Participatory Geographic Information Systems (P-GIS) for natural resource management and food security in Africa : ict4d article, October 2010
    (ENDA Lead Africa, Dakar, SN, 2010) Sintondji, Luc Ollivier; Vissin, Expédit Wilfdrid; Konnon, Dieudonné
    Training of technical staff of municipal councils and agricultural centres in the use of GIS tools for hydrological modeling and soil conservation has been well attended in all three training modules, and deemed successful. Participants were satisfied with the mastery of P-GIS tools as a means to control and coordinate management and rational use of water resources. Based on the training, students have decided to work towards establishing a partnership with the University of Abomey-Calavi, through its laboratories to assist municipalities in capacity building and further training.